L'homme, race éphémère et qui vit sous la nue,
Qu'un seul et même instant voit naître et défleurir,
Passe, les yeux au ciel. – II passe et vous salue!
C'est l'immortel salut de ceux qui vont mourir.
Qu'un seul et même instant voit naître et défleurir,
Passe, les yeux au ciel. – II passe et vous salue!
C'est l'immortel salut de ceux qui vont mourir.